Vous trouverez sur slate.fr et sur le Figaro des articles commentant les résultats de recherches pratiquées aux Etats Unis avec l’aide de laboratoires de l’armée américaine.
Pour nos lecteurs qui lisent l’anglais, le nouvelle est publiée sur les sites du New York Times et Popular Science.
La découverte est que l’association de Nosema ceranae et d’un virus semble être la cause, ou au moins le facteur commun, des cas de disparition d’abeilles. Les commentaires de Bernard Vaissières et Yves LeConte de l’INRA d’Avignon pondèrent l’enthousiasme des journalistes.
La bonne nouvelle, c’est que de plus en plus de laboratoires de recherches se penchent sur le problème de la disparition des abeilles. La mauvaise nouvelle, c’est que cette découverte n’est pas une très grande surprise et qu’il reste encore beaucoup de travail à accomplir.
Le bilan est positif, la science progresse aux Etats Unis, les moyens mis en œuvre ne cessent d’augmenter et les laboratoires apicoles français sont dans la course. Tout ceci mérite d’être salué.