Hivernage du rucher parrainé

Le passage à l’acide oxalique est l’occasion d’un cliché à la volée en milieu d’hivernage.
Je préfère intervenir alors que les colonies sont dégrappées, ca m’oblige à intervenir un peu plus tôt, avant les grand froids
Lors de ma première visite début décembre, les colonies les plus puissantes élevaient encore 1 ou 2 disques de couvain, gros comme la paume de la main. Fin décembre les ruches notées ne présentaient plus que quelques oeufs avortés
A l’occasion de ce survol, sur l’ensemble du cheptel, les grappes occupent 4 ou 5 cadres, les réserves miel et pollen sont suffisantes pour attendre la reprise de ponte sans que je me fasse trop de soucis.

Il n’y a plus qu’à attendre le retour du printemps.

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